In the mid 19th-century, after many years of diligent solar observation, the German astronomer Samuel Schwabe noticed the number of sunspots visible on the sun's disk rises and falls in nearly regular 11-year cycle.
In peak years of the cycle, he found, there were spots visible on the sun most days, and hundreds of spots and groups of spots during the course of a year.
In lean years, roughly 5.5 years after the peak, there were weeks or months when astronomers saw not a single sunspot, with fewer than a dozen spots observed during the year.
This regular cycle was traced back to the earliest telescopic observation of the sun in the 1600's, and has been recorded in increasing detail by modern astronomers right up to the present day. (The diagram below shows a measure of the sunspot number over time since the 17th century. The 11-year period is clearly visible).
The number of sunspots over time since the year 1600. On average the number of spots varies with an 11-year period
What's even more interesting is where the sunspots occur on the solar disk. As the number of sunspots rises from a minimum, the spots appear north and south of the solar equator, usually in the mid solar latitudes around 40 degrees.
As the cycle continues, sunspots appear closer to the equator until at the next minimum, most spots appear in a narrow band at the equator. Then, it all starts over again. A plot of the position of sunspot position over time, shown below, is called the Maunder diagram or the "Butterfly Diagram".
The solar "Butterfly Diagram", which shows the solar latitude of new sunspot groups over time in a number of solar cycles
This periodic change in the number and position of sunspots was a striking discovery. And it's not just the number of sunspots that varies every 11 years. The sunspot cycle also matches up with other activity on the sun, including violent mass ejections, the size and extent of the outer reaches of the sun called the corona, and the intensity of light and charged particles the sun blasts out into space to affect the atmospheres and magnetic fields of many planets in the solar system, especially Earth.
This near-regular 11-year variation in sunspots and other solar activity is called the solar cycle. It seems to be but a symptom of a complex and dimly understood dynamic process inside the sun called a "solar dynamo" that generates the sun's global magnetic field. To make matters even stranger, the magnetic field seems to flip its polarity once every two sunspot cycles, or 22 years, which means the magnetic polarity of the sunspot pairs on the solar disk flips direction from cycle to cycle.
Right now, we're coming out of a period of minimum sunspot activity, when very few sunspots were seen. The last cycle was labeled Cycle 23, and it peaked in mid-2000. The next is Cycle 24. (By convention, the sunspot cycle that began in the years 1755-56 is called Cycle 1). However, Cycle 24 has been slow to get started… there have been far fewer sunspots than expected. Many astronomers expect we'll see many more sunspots in this cycle quite soon.
But others suspect we're due for a period of relatively few sunspots. It's happened before, as you can see in the first diagram above. The period from 1645-1715, for example, had a sudden and unexplained disappearance of sunspots. The time is called the Maunder Minimum, and it coincided almost exactly with a chilly period in our climatic history called the "Little Ice Age".
Is it a coincidence the Maunder Minimum overlapped with the Little Ice Age? Perhaps not!
The effect of sunspots and solar activity on Earth's atmosphere and climate will be the subject of our next article in this series on the sun.
Um estudo feito pela Mzinga com a colaboração da Babson Executive Education, conclui que o uso dos média sociais por parte das empresas tem incidido especialmente na área do Marketing.
Dos 555 respondentes (empresas americanas das áreas dos média, marketing, serviços financeiros, consultoria, recursos humanos e engenharia), 86% servem-se dos média sociais como suporte de uma ou mais áreas de negócios, e 57% aponta o Marketing como uma das suas áreas de negócio que mais tem apostado neste campo.
Estes números parecem surpreendentes, principalmente se pensarmos no contexto português em que esta aposta é relativamente recente, e o número de empresas a apostar neste campo é ainda diminuto.
É de realçar que 39% das empresas usam os média sociais para colaboração interna, 29% com o intuito de proporcionar mais uma forma de apoio ao cliente, 21% como parte da estratégia dos recursos humanos e 14% com o intuito de se auxiliarem ao nível do desenvolvimento do produto.
Estes números revelam-se um exemplo, pela não aposta exclusiva no marketing e pelo alargamento da sua estratégia a outros públicos que não o consumidor.
Um outro facto a salientar é que 79% das empresas inquiridas não medem o ROI (Return on investment).
Todas as apostas por parte de uma empresa são medidas, desde publicidade, relações públicas, estratégias de marketing relacional, mas a aposta nos média sociais não o é.
Questão: É isto um reflexo de que as empresas não os vêem como importantes ferramentas das suas estratégias e que apostam neles porque "está na moda" ou será apenas pela dificuldade que poderão ter em fazê-lo?
La sociologue et ethnographe Liz Pullen a passé un mois à suivre le top 500 des utilisateurs de Twitter ainsi que les membres présents sur la liste des "utilisateurs suggérés" (suggested users). En suivant ces comptes, elle a pu étudier les comportements des nouveaux arrivants sur la plateforme et analyser le modèle que proposait Twitter pour les intégrer. Début juin, elle avait été interrogée par RWW sur les résultats de ses recherches.
Liz a identifié trois façon d'utiliser et de comprendre Twitter : comme un réseau d'information, comme une plateforme de microblogging, et comme un réseau social.
"Si on pense en terme de réseau social, l'important est de penser l'intégrer de nouveaux utilisateurs au réseau existant, et là dessus twitter échoue complètement"
Ce qu'elle a constaté est justement que les messages produits par les utilisateurs suggérés étaient avant tout unilatéraux (du "broadcast") ou égo-centrés ("qu'est-ce que vous pensez de ceci", "est-ce vous pouvez m'envoyer ça", etc.) et entretenaient l'illusion d'un dialogue. "Cela peut paraître naïf", accorde Liz, mais quelqu'un de nouveau attendra effectivement un feedback ou une interaction et espérera entrer en contact avec ces personnes, surtout si elles sont les premières à lui être présentées.
Sur les sites de réseaux sociaux comme au sein de communautés online traditionnelles, détaille Liz, il y a toujours une "phase d'apprentissage" au cours de laquelle les lurkers deviennent novice et les novice deviennent utilisateurs puis leaders, mais rien de tout cela n'a été prévu parce que Twitter n'est pas vu par ses fondateurs comme un site de réseau social : "les gens s'inscrivent, ont des célébrités à suivre et ne savent pas comment localiser d'autres personnes", explique-t-elle encore. Pour elle, le faible taux de rétentions des utilisateurs, qui avait été identifié plus tôt par Nielsen (cf. Les utilisateurs de Twitter ont du mal à suivre) , est clairement la conséquence de cet échec.
La chercheuse propose plusieurs solutions : un système de recherche dans les biographies des utilisateurs (pour pouvoir retrouver les personnes exerçant le même métier, ou partageant sa passion, c'est par exemple ce que propose tweepsearch.com) ou dans les adresses (pour retrouver les utilisateurs proches de chez soi (c'est là dessus que s'est fondé aka-aki par exemple, et ce que propose nearbytweets.com). Il est donc intéressant d'observer que ces applications existent déjà, reste à savoir si Twitter considérera qu'elles répondent à un véritable besoin.
Elle conclue : voir simplement Twitter comme un système de distribution d'information ou de suivi d'updates de célébrités le rend "remplaçable" (Les internautes s'inscrivent pour suivre la mouvance, mais ne sont pas assidus). Les gens qui considèrent l'outil comme un réseau social "sont ceux qui resteront le plus longtemps sur la plateforme", pour y retrouver leurs amis notamment. Avec un système d'intégration digne de ce nom, Twitter pourrait être capable de former des utilisateurs plus fidèles.
Pour l'instant, Biz Stone, fondateur de Twitter, ne semble pas encore avoir clairement tranché entre les deux orientations. Rappelons-nous ce qu'il avait déclaré dans une interview au journal Le Monde : "Twitter n'est pas un réseau social, mais un réseau de communication qui tisse des relations sociales")
En juillet, une nouvelle page d'accueil a vu le jour, redessinée pour "les gens qui sont nouveaux sur twitter.com" et privilégiant "l'apprentissage par l'expérience" (avec la mise en avant du moteur de cherche et des Trending Topics). Le système de suggestion d'utilisateurs, lui, n'a pas été modifié.
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